Chaque conception de ressort d’un ressort de compression se compose de deux étapes :
1. La preuve de fonctionnement, avec vérification des dimensions, de la raideur du ressort, des forces, de la course du ressort et du comportement vibratoire.
2. La preuve de résistance, avec la vérification du respect de la résistance admissible à la contrainte ou à la fatigue.
Table of Contents
Preuve de fonction
Ce qui suit s’applique aux ressorts de compression cylindriques en fil de section circulaire.
Taux du printemps :
de R = F / s il s’ensuit …
Force du ressort :
comme …
Voyage en suspension :
Preuve de force
Une fois les dimensions du ressort déterminées, la résistance doit être vérifiée. A cet effet, la contrainte de cisaillement existante est déterminée.
Tension de force :
Tension hors de portée :
Alors que la contrainte de cisaillement Ʈ est utilisée pour la conception de ressorts chargés statiquement ou quasi-statiquement, la contrainte de cisaillement corrigée k s’applique aux ressorts chargés dynamiquement. La répartition de la contrainte de cisaillement dans la section transversale du fil d’un ressort est inégale. La tension la plus élevée se produit sur le diamètre intérieur du ressort. Avec le facteur de correction de tension « k », qui dépend du rapport d’enroulement (rapport du diamètre moyen « D » à la taille du fil « d ») du ressort, la tension la plus élevée peut être déterminée approximativement. Pour les ressorts soumis à une contrainte dynamique, nous obtenons:
Contrainte de cisaillement corrigée : k = k · Ʈ
où pour k s’applique (selon Bergsträßer):
Maintenant, la comparaison est faite avec la tension admissible. Ceci est défini comme suit:
Tension admissible:
Les valeurs pour la résistance à la traction minimale Rm dépendent de l’épaisseur du fil et sont dans les normes pertinentes Matériaux trouver. En règle générale, il doit être possible de comprimer les ressorts de compression jusqu’à la longueur du bloc, c’est pourquoi la tension admissible pour la longueur du bloc Ʈczul doit être prise en compte. À contrainte dynamique la tension inférieure et supérieure (Ʈk1 et Ʈk2) de la course correspondante doit être déterminée. La différence est la tension de course. La tension supérieure et la tension de course ne doivent pas dépasser les valeurs admissibles correspondantes. Ce sont les diagrammes de résistance à la fatigue du EN 13906-1 à trouver, ou dans Programme de calcul de ressort WinFSB vérifier ( Calcul du ressort de compression vidéo avec WinFSB ). Si les tensions résistent à cette comparaison, le ressort est résistant à la fatigue avec un cycle de charge limite de 10 7e